La lymphopénie (diminution des lymphocytes dans le sang) est observée dans les formes graves de Covid-19 chez environ 80% des patients. Un article sur PubMed fait le lien entre la lymphopénie associée aux formes sévères de Covid-19 et la perméabilité intestinale (le syndrome de l’intestin poreux ou « leaky gut »).
Ma propre aventure avec le Covid-19 et mon expérience professionnelle avec des patients atteints de formes persistantes de Covid m’ont amené à penser qu’il pouvait y avoir un lien sérieux entre les formes graves de Covid, le Covid long et l’écosystème intestinal et notamment la dysbiose, la porosité intestinale et d'éventuelles hypersensibilités alimentaires. Certains scientifiques sont aussi de cet avis...
J’ai attrapé le covid-19 mi-avril en allant travailler malgré le port du masque et le respect des gestes barrières. J’ai eu une forme symptomatique, non compliquée (pas d’hospitalisation ni de traitement conventionnel) mais 3 semaines après les premiers symptômes, j’avais encore certaines manifestations. Je me suis donc naturellement intéressée aux formes longues de Covid; ce que l’on appelle le Covid long. Je me suis alors aperçue que le Covid long était plutôt très fréquent et pour certaines personnes très handicapant. Je voulais donc dans ce blog vous livrer ma propre expérience et le résultat de mes recherches sur le Covid long.
Dans les populations où le zinc alimentaire est insuffisant, la carence en zinc augmente la susceptibilité à l’infection et sa durée. Plusieurs études ont démontré les effets bénéfiques de la supplémentation en zinc sur les maladies infectieuses respiratoires chez l’homme. Les résultats d’une étude publiée en novembre 2020 montrent une association entre le niveau de zinc sérique et l’évolution de la maladie COVID-19. Ces patients carencés en zinc ont développé plus de complications, et la carence était associée à un séjour hospitalier prolongé et à une mortalité accrue.
Vous savez maintenant que l’inflammation excessive, non résolue est un problème majeur dans les formes graves de la COVID-19. En effet, cette inflammation excessive est notamment responsable du syndrome respiratoire aiguë. Mais saviez-vous que l'état de nos intestins peut moduler l'inflammation au niveau pulmonaire ? Venez découvrir les solutions naturelles pour diminuer l'inflammation pulmonaire dans la COVID-19.
Dans une étude réalisée sur deux patients atteints de Covid-19, la stimulation non invasive du nerf vague a montré des résultats encourageants et notamment un soulagement immédiat et constant des symptômes d'oppression thoracique et d'essoufflement, ainsi qu'une amélioration de la capacité à nettoyer ses poumons.
Plusieurs études publiées récemment ont montré que les fumeurs étaient moins touchés par le nouveau coronavirus que les personnes qui ne fument pas. Les chercheurs sont en train de se demander si l’effet protecteur de la cigarette pourrait être médié par la nicotine et si la nicotine pourrait empêcher l’entrée du virus dans la cellule. Et si les effets de la nicotine pouvaient avoir une tout autre explication...
Le covid-19 est une infection liée à un coronavirus qui paralyse le monde depuis début janvier 2019. Il n'existe actuellement ni traitement ni vaccin. Des centaines d'équipes de recherche travaillent à travers le monde pour essayer de trouver un vaccin ou un traitement efficace. En chine certaines plantes de la médecine traditionnelle chinoise sont aussi testées contre le Covid-19. Venez découvrir lesquelles pourraient être efficaces !
Si vous suivez l’actualité sur le Covid-19, vous avez du remarqué que le taux de mortalité en Corée du sud est le plus bas de tous les pays infectés. Il est d’environ 1,5 % alors qu’il s’élève à 8% en Italie. La longévité en Corée du sud sera bientôt la plus élevé de la planète. Je me suis demandée si la cuisine coréenne avait un lien avec ces deux miracles coréens.
L'épidémie de Coronavirus (Covid-19) qui nous touche actuellement met en avant plus que jamais la domination pasteurienne dans la pensée scientifique dominante en Immunologie qui réfute l'idée de l'existence d'un terrain immunitaire qui pourrait être modifiée par des interventions ciblées.
